Point de Suspension est née d’une idée, d’un savoir, d’envies et d’une rencontre.
2005 : Le Squale, reconnu pour sa passion des fouets anime des ateliers découverte à Paris. Il rencontre des novices, explique, répond aux questions et se rend compte que le manque d’informations neutres est criant en matière de BDSM.
Il imagine et crée (avec l’aide de deux fées de l’informatique) un site : bdsminfo.org, où le BDSM se vit comme une invitation au voyage : découverte humaine, technique, informations, témoignages.
Autant de choses qu’il aurait souhaité rencontrer à ses débuts.
2010 : Internet a explosé ! Ce sont des milliers de sites qui existent, principalement pour mettre en avant une pratique, ou le propriétaire du site. Les informations ne manquent pas pour les débutants, il suffit de suivre Google…Mais qui dit «information» ne dit pas «information fiable» et les blogs montrent plus de photos X que d’informations pratiques. Les questions, les témoignages, les demandes continuent d’affluer sur bdsminfo.org. Vient l’envie de poursuivre le site «en réel» et de transmettre IRL techniques et savoirs.
2011 : A la demande d’un groupe d’attacheurs, Le Squale donne ses premiers cours de bondage. Il poursuit aussi les ateliers de fouet, et se rend compte des progrès de ses élèves réguliers. Mais intervenir au sein de structures existantes revient à faire payer au prix fort ses prestations, alors que lui même refuse toute rémunération pour animer ses ateliers.
2013 : Des cours de kinbaku ont vu le jour au sein d’une structure existante aujourd’hui disparue, mais nous coupons les ponts avec celle ci. L’indélicatesse de son propriétaire nous donne des ailes et nous créons ce dont rêvions : une association loi 1901, ouvertement BDSM et SSC, proposant des ateliers, des cours, à des tarifs abordables et couverts par une assurance.
2014 : «nous» aujourd’hui c’est Elealex Squale et Le Squale, fondateurs de Points de Suspension, et une trentaine de membres qui participent à nos activités et ce sont eux qui parlent le mieux de ce qu’ils vivent «chez nous».